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LIVRE BROCHÉ - 92 PAGES - PRIX : 15€ (FRAIS DE PORT DE 4€50)
« Croyant me faire plaisir, mon épouse m’avait offert un portrait-montage de Thorong travesti en généralissime. L’image ravissait les visiteurs qui la trouvaient très réussie. Elle fut surprise de ma réaction de rejet. J’aime les animaux parce qu’ils n’ont précisément rien de commun avec nous. La joie neuve de Thorong à chaque promenade, son enthousiasme lorsque tombait la neige, sa façon de rendre grâce à la beauté du monde, nous ne pouvons y consentir, nous dont les yeux toujours regardent à l’intérieur de nous-mêmes. Trop imbus de notre image pour voir les choses sans retenue. J’estimais donc avilissante l’hominisation du chien, non par misanthropie mais parce qu’elle dépréciait son unique innocence. »
Ce livre est une magnifique lettre d'amour et d'adieu à Thorong, compagnon de vie dont la perte ébranle et bouleverse l'auteur. Une longue lettre peu ordinaire puisqu'elle s'adresse à un chien.
Patrick Chailonick nous parle du rapport de l'Homme à l'animal, de l'incroyable connivence qui se noue entre eux, de l'attachement profond qui en résulte pour l'un et l'autre.
Cette ode à la pureté interroge nos limites en relatant ce dont nous sommes incapables, nous, êtres humains si supérieurs et évolués ! Il est parfois bon de remettre les choses à leur juste place.
Vous pouvez le commander à :
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LIVRE BROCHÉ - RÉCIT - 254 PAGES - PRIX : 20€ (FRAIS DE PORT DE 5€)
« Jusqu’où va la radicalité ? Pour moi la violence est une barrière. Je ne suis pas en position de vouloir faire mal aux flics. Mais si on me tape, je me défends. Des gens qui viennent aux manifs pour casser du flic, ça n’existe pas. L’autogestion ça se cultive. Dans mon travail, j’ai affaire à des gens qui vivent en collectivité, ce qui est une forme d’autogestion. Mais on n’avait pas trop de rigueur dans l’organisation et ça nous a fait défaut sur pas mal de choses. Au fond, c’était quoi l’objectif des Jardins ? Des objectifs, il y en avait plein, et cette question n’a jamais été posée. Il faut du temps pour apprendre à vivre ensemble et du temps, on n’en a pas eu. Avec plus de temps on se serait améliorés. Il y a eu beaucoup d’urgences et de stress. Au début j’ai pensé que c’était beaucoup d’énergie dépensée pour rien. Mais finalement j’ai été bluffé par ce que les gens ont fait. »
Les Jardins de l’Engrenage, une ZAD au nord de Dijon, une Zone A Défendre contre un projet immobilier de la ville. Pourquoi des hommes et des femmes de toutes générations, d’origines sociales diverses, se lancent-ils dans un combat perdu d’avance contre le projet d’une collectivité qui dispose, et malheureusement, se sert des forces de police ? Graines d’engrenage est le récit, par les militants eux-mêmes, de cette aventure qui dura plus d’un an et se termina dans la violence, comme pour la plupart des ZAD qui se multiplient en France. Leur combat a-t-il été vain ? Ils sortent enrichis de cette expérience collective, conscients que la survie de la planète exige un changement de manière de vivre et de consommer. Et la conclusion est, malgré tout, optimiste : « Il semblerait que des graines commencent à germer. »
Vous pouvez le commander à :
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LIVRE BROCHÉ - 168 PAGES - TÉMOIGNAGE - PRIX : 12€ (FRAIS DE PORT DE 4€50)
« ... Il m’est arrivé d’écouter des mensonges inévitables, d’être touché par des tromperies polies à valeur d’excuses, d’être victime de contre-vérités pieuses ou inspirées par des sentiments négatifs, chaque qualificatif étant interchangeable... Chaque fois, j’ai serré les poings et écrasé ma répulsion. Je sais que la crédulité est source de contrariétés, de désillusions. Ce qui est sûr, c’est que je crois à un monde de liberté, de franchise, de respect et… c’est une chimère. J’ai appris, à mes dépens, que l’utopisme n’est pas et ne sera pas demain encore, le garant du bien-être, du plaisir ressenti après l’accomplissement d’un désir, de la joie de construire des contextes heureux. En un mot, ma personnalité, mon mental ne trouvent pas leur place aujourd’hui, dans ce milieu... »
Routier depuis toujours, Paul Tallandier a aimé passionnément ce métier. Il a constamment essayé d’améliorer les conditions de travail.Il s’est heurté à la routine, à la recherche de la rentabilité à tout prix, aux contraintes administratives de plus en plus lourdes...
Mais, même après l’expérience douloureuse qu’il décrit dans cet ouvrage, Paul Tallandier se rêve toujours au volant d’un “piège” sur les routes verglacées des pays nordiques...
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LIVRE BROCHÉ - 156 PAGES - TÉMOIGNAGE - PRIX : 12€ (FRAIS DE PORT DE 4€50)
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LIVRE BROCHÉ - 224 PAGES - TÉMOIGNAGE - PRIX : 12€ (FRAIS DE PORT DE 4€50)
Si être responsable, c'est bien connaître les textes pour bien les appliquer, laissons le social aux technocrates qui ne savent pas ce qu'ils font car ils n'ont jamais côtoyé la misère sous toutes ses formes et arrêtons de nous plaindre !
En effet, être responsable, c'est innover donc prendre des risques, sinon il n'y a pas besoin de responsables. Un programme informatique bien fait peut alors remplacer tous les responsables. Ce n'est pas l'individu qui doit s'adapter au système mais le système qui doit évoluer pour répondre aux besoins des individus..."
Si dans son premier livre La petite graine et le jardinier, Jacques Desbois, faisant état de son expérience avec les jeunes, proclamait "Eduquer c'est possible", dans ce deuxième ouvrage, L'envers du décor, il pose la question "Eduquer, est-ce possible ?"
Est-ce possible quand l'éducateur est soumis à une multitude de contraintes administratives ? Quand il lui faut braver sa hiérarchie pour le bien des enfants ?
Jacques DESBOIS, éducateur, directeur d'établissement, a participé à l'organisation d'une nouvelle politique éducative. A la retraite depuis peu, il continue par ses écrits, à faire part de son expérience en espérant qu'elle puisse servir à ses successeurs.
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LIVRE BROCHÉ - 166 PAGES - TÉMOIGNAGE - PRIX : 12€ (FRAIS DE PORT DE 4€50)
"Médecin de campagne depuis vingt ans, j'ai décidé en 2001 de cesser mon activité professionnelle... J'aimais pourtant mon métier."
Mon Toubib relate, sur un ton direct et humoristique, la dégradation de l'exercice quotidien du généraliste et constate la mort programmée du médecin de famille.
En lisant ce livre, vous prendrez conscience des demandes d'actes injustifiées, de la surconsommation médicamenteuse, des réformes aberrantes de la sécurité sociale, du rôle ambigu de l'industrie pharmaceutique, des incohérences du système de soins, des véritables conditions de vie de votre praticien.
"L'actualité m'a donné raison. Puissent les lecteurs partager notre désarroi et désirer avec moi la survie de la médecine de proximité ! "
Parisien de formation, le Docteur Gérard Goldschmidt, s'oriente tout d'abord vers le journalisme médical puis décide, par vocation, de devenir médecin de campagne.
En 1982, il s'installe dans un village du Gâtinais et se consacre entièrement, avec passion, à son métier. Mais, révolté par les conditions actuelles, il décide, en 2001, de dévisser sa plaque. Il s'oriente actuellement vers l'écriture et la pratique de l'hypnothérapie.
Mon Toubib relate, sur un ton direct et humoristique, la dégradation de l'exercice quotidien du généraliste et constate la mort programmée du médecin de famille.
En lisant ce livre, vous prendrez conscience des demandes d'actes injustifiées, de la surconsommation médicamenteuse, des réformes aberrantes de la sécurité sociale, du rôle ambigu de l'industrie pharmaceutique, des incohérences du système de soins, des véritables conditions de vie de votre praticien.
"L'actualité m'a donné raison. Puissent les lecteurs partager notre désarroi et désirer avec moi la survie de la médecine de proximité ! "
Parisien de formation, le Docteur Gérard Goldschmidt, s'oriente tout d'abord vers le journalisme médical puis décide, par vocation, de devenir médecin de campagne.
En 1982, il s'installe dans un village du Gâtinais et se consacre entièrement, avec passion, à son métier.
Mais, révolté par les conditions actuelles, il décide, en 2001, de dévisser sa plaque.
Il s'oriente actuellement vers l'écriture et la pratique de l'hypnothérapie.
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LIVRE BROCHÉ - 192 PAGES - TÉMOIGNAGE - PRIX : 15€ (FRAIS DE PORT DE 4€50)
"Etre heureux, n'est-ce pas "devoir à la vie", presque sans répit ? N'est-ce pas vouloir donner, en se proposant déjà le bonheur des autres ?
Laisser un message pour parler de son passage sur terre, c'est, peut-être et seulement, dire à ceux qui marcheront dans nos pas ou qui emprunteront des voies différentes, que l'existence vaut (ou ne vaut pas...) la peine d'être vécue. Sur ce point, mon choix est fait : toute vie, même dans une apparente nudité, peut être riche de sens et d'amour."
Roger Lamy est et a voulu rester un homme simple et ordinaire. Il est entré très tôt en rébellion contre le mensonge et l'injustice : il les a souvent rencontrés et toujours combattus. Mais il a découvert peu à peu que le secret d'une vie "globalement heureuse" ne résidait pas seulement dans le service de la vérité et de la justice. Ce secret porte un nom : l'Amour, dans toute sa richesse et sa diversité, amour de la nature, amour de la vie, amour de l'autre surtout.
Né en novembre 1914 alors que son père était mobilisé depuis deux mois pour la première guerre mondiale, Roger Lamy a donc traversé toutes les vicissitudes du XXème siècle et y a inscrit ses actions, ses luttes, ses espoirs. Ce témoignage d'une vie "bien remplie" entre donc parfaitement dans notre nouvelle collection : l'honnête homme du XXème siècle.
Une collection pour le souvenir et pour l'avenir. Car on ne construit rien de grand en oubliant le passé.
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LIVRE BROCHÉ - 214 PAGES - TÉMOIGNAGE - PRIX : 15€ (FRAIS DE PORT DE 4€50)
"Il faut avoir vécu le RMI pour comprendre. Le RMI n'est pas un revenu fixe accordé régulièrement. C'est une allocation différentielle qui vient compléter, jusqu'à "hauteur" d'une somme fixée, nécessairement minimale, les ressources du bénéficiaire. Ceci entraîne bien sûr un minimum de contrôle, déclaration de ressources tous les trois mois. C'est fou comme l'assisté est super contrôlé, cela fait rêver quand on apprend que certains dirigeants, PDG, arrivent à escamoter des millions, voire des milliards ! ... Alors que pour dix francs de trop perçus nous recevrons une lettre de mise en demeure. Il nous faudrait absolument suivre un stage de formation d'escamotage avec ces supermen de l'évasion monétaire.
Si par bonheur vous avez eu trois mois de chance avec des revenus vous permettant de sortir la tête de l'eau sans toutefois vous permettre une croisière exotique trois étoiles, vous resterez la tête sous l'eau les 3 mois suivants, votre droit au RMI étant calculé sur le trimestre précédent. Cela s'appelle "délai de carence"..."
En 1977, la maison qui employait Maryvonne Goarant, ferme. A partir de cette date jusqu'à l'âge de la retraite (1993), Maryvonne va survivre, à force d'énergie, de luttes quotidiennes, pour élever son fils et lui permettre d'échapper à ce destin de misère.
Etre sans avoir, c'est le témoignage d'une femme indignée, révoltée, qui n'a cessé de se battre contre les incohérences du système d'aide aux exclus et contre l'indifférence des politiques.
Maryvonne Goarant ne s'apitoie pas sur son sort. Elle démontre l'absurdité des mesures prises, cherche des remèdes à ce mal français, dénonce une classe politique plus soucieuse de son propre bien-être que de résoudre ce fléau, mis en avant à chaque campagne électorale et oublié dès les résultats acquis.
Collection L'honnête homme du XXème siècle.
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LIVRE BROCHÉ - 158 PAGES - TÉMOIGNAGE - PRIX : 11€ (FRAIS DE PORT DE 4€50)
"... Un pur miracle d'exotisme ! Le petit cône rocheux avec sa choupette de palmiers, la frange de sable blond, l'eau diamantine, comme dormante. La turquoise qui joute avec l'émeraude. Des fragrances de terre inconnue dans ce petit matin d'un autre monde..."
"...Les étoiles nous épient et grelottent au dessus de ces lugubres recoins façonnés de planches disjointes, vainement recouvertes de feuilles de journaux tout jaunis
Les voyageurs ahanent au pieu
Et les voyeurs se crèvent les yeux...
Etreinte sèche, interminable. Misère gluante, poisseuse. Et moi, là-dedans ! ... Dans ce stupre, ce gouffre, ces abysses infernaux ! ..."
Entre sublime et sordide, Patrick Jouas-Poutrel nous entraîne dans un tour du monde passionnant. En quelques mots, quelques phrases, il sait restituer l'atmosphère d'un lieu, camper un personnage, nous faire vivre la détresse de ces marins perdus de solitude entre mer et ciel.
Patrick Jouas-Poutrel a navigué au long cours durant onze ans avant d'être victime d'un licenciement économique en 1987.
En 1990, il se sédentarise sur l'Adour, près de Bayonne et crée un centre de formation dont il est toujours le responsable et l'animateur.